Laurent Turpault, Coca-Cola France : « Fierté de soutenir le programme « Booster » de raccrochage scolaire ! »

Depuis 7 ans, grâce au soutien de la Fondation Coca-Cola, 2000 jeunes ont pu bénéficier de ce programme d’Unis-Cité pour rebondir.
 
Lancé en 2012 par Unis-Cité, en partenariat avec le Ministère de l’Education Nationale et l’Agence du Service Civique, le programme "Booster" a fait la preuve que le Service Civique est une solution utile à proposer aux décrocheurs âgés de 16 à 18 ans. Son objectif : permettre le raccrochage scolaire de ces jeunes ayant abandonné l’école par un programme stimulant. Un programme qui alterne, pendant les 8 mois d’un Service Civique avec encadrement adapté, des missions d’intérêt général et des temps de remobilisation scolaire. A la fin de leur Service civique, 65% des jeunes interrogés déclarent qu’il leur a permis de développer des aptitudes personnelles, professionnelles et sociales et 96% se déclarent fiers de ce qu’ils ont accompli.
 
La Fondation Coca-Cola soutient le programme Booster depuis 2012 : que vous inspire ce partenariat de longue date avec Unis-Cité ?
Admiration et Fierté ! Admiration du travail accompli par Unis-Cité et son énergie à défendre la cause des jeunes auprès de nos institutions. Fierté de voir nos équipes si bien collaborer. Unis-Cité et Coca-Cola sont des organisations très différentes. Elles ont su travailler ensemble et cela paie. En 7 ans la Fondation Coca-Cola a apporté un soutien de 1,5 million d’euros à Unis-Cité, permettant l’accompagnement de 2 000 jeunes au sein du programme "Booster" de raccrochage scolaire via un Service civique alterné avec retour au lycée 2 jours par semaine. Plus largement, ce sont environ 12 000 jeunes qui ont bénéficié des actions menées par les volontaires Unis-Cité dans le cadre de ce partenariat, notamment autour de la pratique sportive comme levier d’inclusion sociale.
Coca-Cola a fêté son centième anniversaire en France cette année en 2019. 100 ans Ensemble avec les Français. Unis-Cité fait partie de cette histoire.
 
Selon vous, en quoi le Service civique est-il un levier pertinent pour redonner confiance en eux à des jeunes mineurs de 16 et 17 ans décrocheurs scolaires ?  
Je suis admiratif de la détermination de Marie Trellu-Kane qui a porté l’idée du Service civique pour l’installer durablement en France. Cela donne du sens au parcours de nombreux jeunes aujourd’hui qui s’investissent pendant une année, parfois plus je crois, au profit de causes qui comptent beaucoup pour les Français, que ce soient dans les écoles, les hôpitaux ou les maisons de retraite. Le principe de la diversité me semble être une condition de son succès : les candidats viennent d’horizons divers, avec différents niveaux de qualification et d’aspirations : Ils sont la France !
Je ne serais pas légitime à m’exprimer plus sur le concept du Service civique en tant que tel car ce n’est pas mon métier. En revanche, je peux témoigner des rencontres que j’ai eues avec certains jeunes sur des opérations sociales. Leur enthousiasme, et leurs histoires ne mentent pas : cette expérience est pour eux une occasion unique de découvrir d’autres personnes, d’apporter sa contribution mais aussi de se découvrir soi-même. Beaucoup expriment avoir développé leur confiance en soi.
 
Cette année, le soutien de la Fondation Coca-Cola va permettre d’ajouter une dimension environnementale au programme "Booster", pouvez-vous nous en dire plus ?
Une chose me plaît énormément chez Coca-Cola : le fait que très tôt, la marque, avec l’appui de ses dirigeants, s’est investie pour l’inclusion et la diversité. Par exemple, cela s’est manifesté dès les années 60 aux Etats-Unis quand Coca-Cola était la première marque à inclure des personnes de diverses origines ethniques dans ses publicités ou lorsqu’elle prenait la parole pour lutter contre la discrimination. Cet engagement ne s’est jamais démenti, prenant différentes formes pour l’émancipation des femmes ou le soutien des minorités. Cette culture a amené naturellement la Fondation Coca-Cola à soutenir la mission sociale d’Unis-Cité.
Mais le monde change et notre entreprise souhaite toujours prendre ses responsabilités face aux nouveaux enjeux. Celui de l’environnement est de taille ! Notre groupe, par la voix de James Quincey son PDG a pris un engagement volontaire très ambitieux : celui d’un « monde sans déchets » qui implique notamment que tous nos emballages soient 100% recyclables, que 100% de nos bouteilles, canettes ou leur équivalent soient collectés d’ici à 2030 dans le monde et 2025 en Europe.
 
Le fait que le programme "Booster" intègre une dimension environnementale est le signe qu’il répond aux défis actuels de notre société et que ses priorités rejoignent vraiment les combats que la Fondation Coca-Cola souhaite soutenir.
 
Dans les prochaines semaines, 420 jeunes, dont la moitié en situation de décrochage scolaire, vont intégrer une promotion Booster dans 21 territoires : quel message leur adressez-vous ?
Soyez vous-mêmes ! Exprimez vos vraies couleurs !
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